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EPAMARNE/ EPAFRANCE

Depuis mai 2015, Jean-Baptiste Rey, est directeur général adjoint des établissements publics d’aménagement EPAMARNE/ EPAFRANCE. En décembre 2017, il est nommé directeur général par intérim suite à la nomination de Nicolas FERRAND, en qualité de préfigurateur de la SOLIDEO (société de livraison des équipements Olympiques Paris 2024), jusqu’à l’arrivée de l’actuel directeur général Laurent Girometti, nommé en mai 2018.
Diplômé de l’École spéciale des Travaux publics du Bâtiment et de l’Industrie, Jean-Baptiste REY a débuté sa carrière chez Coteba (Groupe Artelia) où il est directeur du département Développement territorial et mobilité (2001-2010). Il poursuit sa carrière en qualité de directeur général délégué de la société d’économie mixte SEPA Pyrénées Adour (2011-2013) et devient directeur régional Sud-Ouest & Outre-Mer de Egis France – branche Villes & Transports, filiale du groupe Caisse des dépôts et consignations (2013-2015).
A l’origine de la création en 2017 d’une filiale SPLAin avec la commune de Noisy-le-Grand pour le développement du projet Noisy pôle gare, il en prend la direction générale et accompagne l’évolution de l’actionnariat en 2018 puis 2020 avec la rentrée au capital de l’établissement public territorial Grand Paris Grand Est puis de la Métropole du Grand Paris.
En parallèle de ses fonctions, il est vice-président de l’AFDU - Association Française du Développement Urbain, siège au Conseil d’Administration de ADIVbois - Association pour le Développement des Immeubles à Vivre en bois, et préside le Conseil d’orientation du Mastère spécialisé BIM à l’ENPC/ESTP.

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  • Cycle annuel 2021 18 novembre 2021 Epamarne : L’aménagement au défi de la transition écologique Le territoire de Marne-la-Vallée se caractérise par un urbanisme de ville nouvelle qui a permis de grandes réalisations, mais dont la soutenabilité environnementale, économique et sociale est incertaine. Son mode d’occupation des sols pose aujourd’hui question, ainsi que la transition entre espaces ouverts et espaces bâtis. Née de la planification urbaine depuis le schéma directeur de la Région Parisienne de 1965, Marne-la-Vallée a joué un rôle efficace pour construire des logements et des équipements nécessaires pour répondre à l’accroissement et aux attentes de la population. Mais beaucoup des règles et concepts de l’époque sont désormais dépassés notamment dans leur rapport à l’énergie, à l’utilisation des sols et à la gestion des ressources naturelles. La ville durable et résiliente à fabriquer désormais, doit faire face aux défis de transition des villes nouvelles : densification des pôles de transport, limitation de la consommation foncière, réduction des migrations pendulaires…
    Le nouveau défi est de penser et aménager des interfaces, transformer pour améliorer l’existant, urbaniser sans tout artificialiser, garder des voieries perméables, respecter le cycle de l’eau, produire et stocker l’énergie localement pour la réutiliser localement, créer des aménagements réversibles, être économes sur l’utilisation des sols, préserver plus que compenser les atteintes à la faune et à la flore et même faciliter la croissance de la biodiversité en ville.
    EpaMarne et EpaFrance sont donc confrontés à de forts enjeux à court et moyen terme, traduits en feuille de route validée par les Conseils d’Administration, composés de représentants de l’Etat, de la Région et des collectivités du territoire d’intervention (44 communes, 3 départements, 3 établissements publics territoriaux du Grand Paris, 3 communautés d’agglomération).
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